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Article sur La Nouvelle République

Mardi 2 février, au kiosque de la place du Drapeau, a eu lieu le lancement de « Je chemine en Gâtine ». Une opération menée par les quatre centres socioculturels du territoire (Val d’Egray, Châtillon-sur-Thouet, Pays ménigoutais et Airvaudais-Val du Thouet), en partenariat avec la Maison de l’emploi et des entreprises de Parthenay et de Gâtine. Les quatre structures ont répondu à un appel à projet de l’Injep (Institut pour la jeunesse et l’éducation populaire), visant à aller à la rencontre des jeunes de 16 à 30 ans. Le but est de les mobiliser sur les sujets qui touchent à leur vie quotidienne, leur avenir, leur vision du futur et leur implication sociale.

Outiller les pôles structurants de jeunesse

Cette action s’inscrit dans la droite ligne du programme d’investissement d’avenir développé sur le Bocage bressuirais et la Gâtine depuis cinq ans, en lien avec l’Agence nationale de renouvellement urbain. Ce programme vise à outiller ces deux territoires d’infrastructures et de projets en direction de la jeunesse. « Notre action commune cible les jeunes visibles et qui fréquentent nos associations, mais aussi les jeunes que l’on dénomme invisibles et qui ne sont repérés nulle part », soulignent Othéllo Ravez, référent jeunesse à Châtillon-sur-Thouet, et Marion Godard, conseillère à la Maison de l’emploi.
Ce projet se déroulera en trois étapes : « La première vise à aller à leur rencontre sur l’ensemble du territoire. La deuxième consistera à créer et animer des ateliers en se déplaçant de commune en commune, afin d’inciter les jeunes à y participer. Enfin, la troisième permettra d’accompagner ces jeunes dans la réalisation de leurs idées, projets et actions. »
Au moment où les élus locaux réfléchissent aux actions qu’ils souhaitent mener en direction de la jeunesse, cette initiative tombe à pic. Elle devrait leur permettre d’agir au plus près des besoins des jeunes en étant informés sur la réalité de leurs parcours. Il en va ainsi des pôles structurants pour la jeunesse, qui doivent à terme mailler le territoire et permettre la mise en œuvre et le soutien aux initiatives portées par les jeunes.
À l’image de Luce Mélis, 24 ans. « J’ai effectué des études par ci par là, en flânant un peu sans obtenir de diplôme. Et je suis ensuite rentrée dans le monde du travail, confie celle qui est actuellement en service civique au centre socioculturel de l’Airvaudais-Val du Thouet. Aujourd’hui, je suis en charge du développement de la communication et du site Internet. Et je me vois, à l’avenir, vivre en Gâtine, car j’y ai mes attaches et je m’y sens bien. »

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